Masque imposé, distanciation sociale,
Comprendre les enjeux psychologiques et la symbolique pour arrêter de se voiler la face.
COVID : LE SOURIRE EST EXCELLENT POUR LA SANTÉ, C'EST PROUVÉ SCIENTIFIQUEMENT - PARTIE 3

Il est vrai que le sourire s’entend normalement dans la voix, néanmoins lorsque le son est étouffé par un bout de tissu sur la bouche, pas sûr que le sourire s’entende encore. Le sourire est un trait typiquement humain. Lorsqu’il est authentique, il est une manifestation de l’intelligence émotionnelle. Le masque prive nos échanges sociaux de sourires. Sans sourires nos visages se déshumanisent à l’instar d’un robot qui est capable de beaucoup de chose mais certainement pas de faire circuler l’amour qui découle d’un sourire. Moi je ne suis pas prête à vivre sans sourires car un sourire c’est un symbole de vie, il est empli de magie. Quand nous sourions, ça ouvre notre cœur et nous irradions une énergie qui provoque une détente bienfaitrice chez ceux qui le réceptionnent. Le sourire est un signe de bienveillance, de sympathie, d’ouverture, de complicité, d’amour… C’est la preuve que nous communiquons avec le cœur et pas seulement avec la tête.
Notre dimension émotionnelle et psychique est fondamentalement altérée par le fait d’avoir le visage recouvert, caché et donc privé de son expression naturelle. Il en résulte que la dimension chaleureuse des échanges humains qui de manière spontanée passe par le sourire, par la proximité physique et par l’expression faciale de nos émotions est quasiment réduite à néant. Les émotions ne pouvant plus se lire sur les visages nos relations se vident de leur quintessence.
De la froideur comme de la pauvreté émotionnelle découle une frustration et à force un sentiment d’isolement intérieur. Le réflexe instinctif qu’on les personnes qui manquent de chaleur dans leurs relations est de s’habituer à de moins en moins s’impliquer dans leurs échanges finissant par s’inhiber et par avoir le sentiment que les autres leurs sont systématiquement hostiles. C’est un mécanisme de défense inconscient dont le rôle est de préserver de la douleur morale. N’oublions pas que ce que l’on reçoit est à l’image de ce que l’on donne. Lorsque notre visage se ferme, l’autre en face à tendance à se fermer aussi. Le masque est manifestement une fermeture nous enfermant chacun dans notre bulle.
LIRE LES AUTRES PARTIES THÉMATIQUES DE CET ARTICLE :
- PARTIE 1 - COVID : Des conséquences psycho-émotionnelles pas encore visibles
- PARTIE 2 - COVID : Les émotions muselées
- ( Vous êtes ici ) PARTIE 3 - COVID : Le sourire est excellent pour la santé, c’est prouvé scientifiquement
- PARTIE 4 - COVID : Le visage est la représentation de notre unicité et de notre vie psychique
- PARTIE 5 - COVID : Peur ou psychose ?
- PARTIE 6 - COVID : Se couvrir le visage et se voiler la face sur la réalité
- PARTIE 7 - COVID : Etre influencé, c’est ressentir quelque chose à son insu et s’y fier
- PARTIE 8 - COVID : Se masquer le visage et se voiler la face
- PARTIE 9 - COVID : Les "anti-masques" sont-ils vraiment anti-masques ?
- PARTIE 10 - COVID : Rester fidèle à soi-même même en temps de crise
- PARTIE 11 - COVID : L’âme est la locataire de son véhicule physique
- PARTIE 12 - COVID : La loi de résonnance : on ne tombe pas malade par hasard
- PARTIE 13 - COVID : Libre comme l’air… tout un archétype
- PARTIE 14 - COVID : Les gens intègres n’ont jamais avancés masqués
- PARTIE 15 - COVID : On ne vit jamais une expérience par hasard
- PARTIE 16 - COVID : L’amour plus fort que le masque et tous les gestes barrières
- PARTIE 17 - COVID : la persona-masque social contre masque antisocial